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Analyses

Baromètre de la certification professionnelle - Juillet 2025

31 juillet 2025
·
Thomas Bouttefort

Le paysage de la certification professionnelle en France est un écosystème complexe, où les données mensuelles peuvent parfois sembler contradictoires, semant le doute chez les dirigeants d'organismes de formation. Une baisse ponctuelle des enregistrements est-elle le signe d'un marché qui se contracte ? Une hausse est-elle synonyme d'opportunités pour tous ? Pour les décideurs, la véritable question est de savoir comment interpréter ces signaux pour orienter leur stratégie avec clairvoyance.

Cet article propose de dépasser le bruit des fluctuations mensuelles pour révéler les tendances de fond, plus stables et plus significatives, qui façonnent durablement le marché. En analysant en profondeur les décisions d'enregistrement de juillet 2025 et en les comparant à celles de 2024, nous mettrons en lumière les changements structurels qui s'opèrent : quels types de certifications sont réellement privilégiés par le régulateur ? Quel est le profil des organismes qui réussissent ? Et quels sont les domaines de compétences les plus porteurs ? L’objectif est d’offrir aux dirigeants, responsables pédagogiques et responsables qualité une lecture stratégique de ces chiffres, afin d’anticiper les évolutions du secteur.

L'essentiel en 5 points clés

  1. Croissance annuelle robuste : Malgré une baisse ponctuelle de 13% en juillet, le marché de la certification affiche une croissance solide de +16% depuis le début de l'année 2025, un signe de vitalité et de confiance dans le système.
  2. Le RNCP, moteur incontesté : Contrairement à une idée reçue, la croissance est quasi exclusivement tirée par les enregistrements au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP), en hausse de 26%, tandis que le Répertoire Spécifique (RS) reste stable.
  3. Une "démocratisation" du marché : L'augmentation du nombre de certifications n'est pas due à une concentration, mais à l'arrivée de nouveaux acteurs. Le nombre de certificateurs uniques a bondi de 17%, et celui des "primo-certificateurs" – ceux obtenant leur toute première certification – a augmenté de 31%.
  4. Les acteurs de taille moyenne en force : L'analyse des données des Bilans Pédagogiques et Financiers (BPF) montre que la majorité des nouveaux certificateurs sont des structures formant moins de 1000 stagiaires par an. 
  5. Hégémonie des services et de la production : Reflet des besoins critiques de l'économie française, 94% des nouvelles certifications se concentrent dans les domaines technico-professionnels des services (Informatique, Communication, Gestion) et de la production.
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Partie 1 : Dynamiques des certifications – une croissance portée par le RNCP

Analyse globale des enregistrements : une tendance annuelle robuste malgré un ralentissement estival

Comparaison nouveaux enregistrements RNCP / RS - Juillet 2025

Le paradoxe des chiffres : voir au-delà du bruit mensuel

À première vue, les données de juillet 2025 pourraient inquiéter. Avec 90 nouvelles certifications enregistrées sur demande, le volume est en baisse de 13% par rapport aux 104 enregistrements de juillet 2024. Cependant, en élargissant la perspective à l'ensemble de l'année, le tableau est radicalement différent : 653 décisions ont été rendues depuis janvier 2025, contre 564 sur la même période en 2024, soit une croissance robuste de 16%. 

Pour les organismes de formation, c’est un signal encourageant : davantage de certifications obtiennent le feu vert de France Compétences, ce qui peut traduire une volonté de mieux valoriser l’offre de formation et de ne pas freiner l’innovation pédagogique.

Cette apparente contradiction s'explique aussi peut-être par une anomalie statistique dans le calendrier de France Compétences en 2024. Aucune décision n'a été publiée en janvier 2024, et un rattrapage a eu lieu avec deux commissions en octobre de la même année. Nous verrons donc en octobre si cette tendance se confirme même si elle est indéniablement positive. 

Un signal de confiance : La durée d'enregistrement s'allonge

Un indicateur plus subtil, mais tout aussi puissant, de la santé du marché est la durée moyenne de validité accordée aux certifications. Cet indicateur est en nette progression. En juillet 2025, la durée moyenne était de 3,5 ans, contre 3,2 ans en juillet 2024, soit une hausse de 10%. La tendance annuelle est encore plus marquée, passant de 3,2 ans en 2024 à 3,6 ans en 2025.

Cette augmentation n'est pas un détail administratif. Elle doit être interprétée comme un signal de confiance de la part de France Compétences envers la qualité et la pérennité des dossiers approuvés. Une durée d'enregistrement plus longue, se rapprochant du maximum légal de cinq ans, offre une plus grande stabilité aux organismes certificateurs, sécurise leur modèle économique et réduit leur charge administrative. C'est une validation directe de l'investissement consenti par les responsables pédagogiques dans l'ingénierie de référentiels solides et pertinents.

Ce phénomène témoigne d'une maturation du système. Après la réforme, le secteur a connu une période d'ajustement, avec des taux de refus élevés et des durées d'enregistrement plus courtes, le temps que les certificateurs s'approprient les nouveaux critères de qualité. Les rapports d'activité récents de France Compétences confirment cette orientation vers une régulation accrue et une exigence de qualité. L'allongement des durées suggère que le marché a atteint un nouveau palier : les organismes soumettent des dossiers de meilleure qualité, justifiant ainsi une confiance à plus long terme de la part du régulateur. Nous assistons à une "fuite vers la qualité", où l'excellence de l'ingénierie de certification est récompensée par une plus grande visibilité et une meilleure stabilité.

RNCP vs. Répertoire Spécifique (RS) : mettre fin aux idées reçues

Princaples évolutions de la certification professionnelle - Juillet 2025

Définitions et enjeux stratégiques : le bon répertoire pour le bon projet

Pour naviguer efficacement, il est impératif de maîtriser la distinction fondamentale entre les deux répertoires nationaux gérés par France Compétences :

  • Le RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles) a pour vocation de répertorier les certifications qui attestent de l'ensemble des compétences nécessaires à l'exercice d'un métier complet. Ces certifications sont structurées en blocs de compétences et classées par niveau de qualification (du niveau 3 au niveau 8), garantissant leur adéquation avec les besoins du marché de l'emploi.
  • Le RS (Répertoire Spécifique) recense quant à lui les certifications et habilitations correspondant à des compétences complémentaires ou transversales à un métier. Il ne vise pas un métier dans sa globalité, mais une expertise additionnelle (maîtrise d'un outil, d'une méthode) ou une habilitation réglementaire obligatoire.

Le choix entre ces deux répertoires est une décision stratégique majeure pour tout organisme de formation, car il conditionne l'ingénierie du projet et son positionnement sur le marché.

Le RNCP, moteur incontesté de la croissance

Une idée circule parfois dans l'écosystème : France Compétences favoriserait désormais les dossiers RS, jugés plus "légers". Les chiffres de 2025 démontrent sans équivoque le contraire. La quasi-totalité de la croissance annuelle (+16%) est imputable aux enregistrements au RNCP, qui bondissent de 26%. En parallèle, le nombre de nouvelles certifications RS est quasiment stable sur l'année. La tendance mensuelle de juillet 2025 est encore plus parlante : alors que le nombre de nouveaux RNCP progresse légèrement (62 contre 59 en juillet 2024), celui des RS chute de 38%.

Cette dynamique n'est pas le fruit du hasard, mais d'une orientation politique claire. Le mandat de France Compétences, en tant qu'autorité de régulation sous la tutelle du Ministère du Travail, est de s'assurer que l'offre de formation répond aux besoins réels du marché du travail et favorise l'emploi. Le critère principal d'un dossier RNCP est la démonstration de son opportunité, c'est-à-dire de son adéquation avec une demande avérée des employeurs et de sa capacité à insérer les certifiés sur le marché. En privilégiant massivement le RNCP, le régulateur oriente le marché vers la création de qualifications ayant l'impact le plus direct et le plus mesurable sur l'employabilité. Pour les organismes, le message est clair : la stratégie la plus porteuse est de construire des titres métiers complets, solidement ancrés dans les réalités économiques.

Dépôts initiaux vs. renouvellements : la surprise des nouvelles certifications

L'analyse révèle une autre tendance qualifiée de "contre-intuitive" : en proportion, la croissance des dépôts initiaux (de toutes nouvelles certifications) est plus forte que celle des renouvellements. Cette observation vient bousculer l'idée d'un marché saturé où seules les certifications établies parviendraient à se maintenir.

Elle témoigne au contraire d'un écosystème dynamique et innovant, où de nouveaux projets de certification, portés par des acteurs audacieux, réussissent à franchir les exigences élevées de France Compétences. C'est un signal extrêmement positif pour les fondateurs et les responsables pédagogiques qui développent de nouvelles offres. Il convient de noter que la baisse des dépôts initiaux en juillet 2025 (-28% par rapport à juillet 2024) s'explique par un mois de juillet 2024 exceptionnellement élevé sur ce segment, ce qui ne remet pas en cause la tendance annuelle de fond. 

Partie 2 : Le paysage des certificateurs – vers une démocratisation du marché

Le nombre et le profil des acteurs : plus d'acteurs, pas de concentration

Comparaison nouveaux certificateurs RNCP / RS - Juillet 2025

Le véritable moteur de la croissance : l’élargissement de la base

L'une des conclusions les plus significatives de cette analyse est la manière dont le marché se développe. La croissance de 16% du nombre de certifications n'est pas le résultat d'une concentration accrue où quelques grands acteurs accumuleraient davantage de titres. Au contraire, elle est principalement due à une augmentation de 17% du nombre de certificateurs uniques. Le nombre moyen de certifications obtenues par chaque organisme reste, lui, quasiment stable (passant de 1,5 en 2024 à 1,6 en 2025).

La vague des "primo-certificateurs" confirme la tendance

Cette thèse de la "démocratisation" est corroborée par un chiffre encore plus frappant : le nombre d'organismes obtenant leur toute première certification a bondi de 31% entre 2024 et 2025, passant de 144 à 189 sur la période analysée.

C'est la preuve tangible que le système est accessible aux nouveaux entrants. Pour un organisme de formation, même de taille modeste, qui propose un programme de haute qualité répondant à un besoin avéré du marché, la voie de la certification est ouverte. Le succès ne dépend plus de l'antériorité ou de la taille, mais de la capacité à construire un dossier rigoureux qui démontre la valeur et l'impact de sa formation. C'est un message d'espoir et d'équité pour les acteurs innovants qui placent la pédagogie et l'employabilité au cœur de leur projet.

La structure du marché : les "petits" et "moyens" certificateurs dominent

Pour affiner le profil de ces nouveaux entrants, l'analyse s'est appuyée sur les données issues des Bilans Pédagogiques et Financiers (BPF). Ce document, que tout organisme de formation doit déclarer annuellement auprès des services de l'État (DREETS), retrace en détail son activité et sert de base aux analyses statistiques du marché par la DARES (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques).

L'analyse de ces données révèle que la grande majorité des organismes obtenant une certification en 2025, comme en 2024, sont des structures déclarant former moins de 1000 stagiaires en interne par an. Cette information est cruciale car elle vient contredire l'idée que la certification serait réservée aux grandes écoles ou aux universités d'entreprise. Les études sur la structure du marché de la formation confirment d'ailleurs cette atomisation, avec une prédominance de micro-organismes. L'agilité, la spécialisation et l'excellence pédagogique sont devenues des facteurs de succès plus déterminants que la taille ou le volume d'activité.

Cette démocratisation n'exclut cependant pas la présence d'acteurs institutionnels et de branches professionnelles très structurants. L'analyse identifie des certificateurs majeurs comme le Ministère de l'Éducation Nationale, mais surtout l'UIMM (Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie), qui figure parmi les plus grands pourvoyeurs de certifications en 2025.

Classement des certificateurs RNCP / RS - Juillet 2025

Partie 3 : cartographie des domaines de certification – les services et la production en tête

Les grands domaines de compétences (nomenclature NSF)

Comprendre la nomenclature des spécialités de formation (NSF)

Pour cartographier les domaines de compétences, France Compétences utilise la Nomenclature des Spécialités de Formation (NSF). Il s'agit du système de classification officiel de l'État, géré historiquement par l'INSEE, qui permet de catégoriser toutes les formations et certifications. Pour une lecture stratégique, il est utile de comprendre sa structure hiérarchique, qui se décline en quatre grands domaines :

  1. Domaines disciplinaires (matières académiques fondamentales).
  2. Domaines technico-professionnels de la production.
  3. Domaines technico-professionnels des services.
  4. Développement personnel et social.

Chaque certification est rattachée à un ou plusieurs codes NSF (généralement à 3 chiffres, comme le code 326 pour l'Informatique), qui précisent sa spécialité.

Une hégémonie claire : les services et la production captent 94% des certifications

L'analyse des codes NSF des certifications enregistrées en 2025 est sans appel. Deux des quatre grands domaines dominent massivement le paysage :

  • Les domaines technico-professionnels des services représentent 67% des NSF rattachés aux nouvelles certifications.
  • Les domaines de la production en représentent 27%.

À eux deux, ils concentrent 94% du marché des enregistrements sur demande. Cette répartition est un miroir fidèle des besoins de l'économie française, marquée par la tertiarisation et les enjeux de réindustrialisation. Pour un organisme de formation, cette donnée est une boussole : c'est dans ces deux univers que la demande de compétences certifiées est la plus forte et la plus explicitement reconnue par le régulateur.

Les domaines en retrait

À l'inverse, les domaines du "développement personnel" et les "domaines disciplinaires" (comme la physique ou la philosophie) sont très peu représentés. L'explication est logique. Les certifications liées au développement personnel ne sont pas considérées comme une priorité pour les financements publics, notamment via le Compte Personnel de Formation (CPF). Quant aux domaines académiques, ils sont majoritairement couverts par les diplômes d'État (Licences, Masters, etc.) qui bénéficient d'un "enregistrement de droit" et n'entrent donc pas dans le périmètre de cette analyse, qui se concentre sur les "enregistrements sur demande" émanant d'organismes certificateurs privés ou para-étatiques.

Zoom sur les spécialités les plus porteuses

Le trio de tête des domaines : communication, gestion, services à la personne

En affinant l'analyse au sein du grand domaine des services, trois secteurs se distinguent nettement, que ce soit en juillet 2024, en juillet 2025 ou sur l'ensemble de l'année :

  1. Communication et information
  2. Échanges et gestion
  3. Services aux personnes

C'est dans ces trois catégories que l'activité de certification est la plus intense, offrant une vision plus précise des opportunités pour les responsables pédagogiques.

Les codes NSF phares : le numérique et le commerce en ligne de mire

L'analyse la plus fine, au niveau des codes NSF eux-mêmes, révèle les compétences les plus recherchées. Le code NSF 326 (Informatique, bureautique, communication et multimédia) est de loin le plus représenté. Il est suivi de près par les spécialités liées au commerce, à la vente, à la finance, à la gestion et aux ressources humaines.

Cette concentration n'est pas une coïncidence. Elle est le reflet direct des grandes transformations économiques en cours : la digitalisation de tous les secteurs, l'explosion du numérique et de la data, et la complexification de la gestion des talents. Le système de certification n'est pas une simple chambre d'enregistrement administrative ; il agit comme un miroir dynamique des besoins en compétences de l'économie. Les décisions de France Compétences façonnent activement l'offre de formation pour répondre à la demande du marché du travail. Pour un organisme de formation, la stratégie de certification ne doit donc pas être élaborée en vase clos. Elle doit être le prolongement d'une analyse de marché rigoureuse, et les données NSF publiques constituent un outil puissant et gratuit pour identifier les domaines d'investissement les plus prometteurs.

Conclusion : naviguer dans le paysage de 2025 et au-delà

L'analyse des décisions de France Compétences pour 2025 révèle un marché de la certification professionnelle en pleine phase d'expansion qualitative et structurée. Cette croissance est saine : elle est portée non pas par une multiplication de micro-compétences, mais par la création de qualifications métiers complètes (RNCP) qui répondent directement aux besoins d'employabilité.

Plus important encore, cette expansion est démocratique. Elle est alimentée par une base d'acteurs de plus en plus large, incluant un nombre record de nouveaux entrants et une majorité d'organismes de taille moyenne. C'est le signe que le système évolue vers une véritable méritocratie, où la qualité de l'ingénierie pédagogique et la pertinence du projet priment sur la notoriété ou la taille.

Nous sommes à un moment charnière. Pour les organismes de formation, la voie du succès ne réside plus dans la maîtrise des subtilités administratives, mais dans la démonstration d'une excellence pédagogique et d'une connexion profonde avec les réalités du marché du travail. Les acteurs qui prospéreront demain seront ceux qui considèrent la certification non comme une contrainte réglementaire, mais comme la validation ultime de leur impact et de leur valeur ajoutée.

La mise en place de ces stratégies est un défi complexe mais essentiel. Pour les organismes de formation qui souhaitent transformer cette obligation en véritable levier de croissance, un diagnostic approfondi est souvent le point de départ le plus pertinent.

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Sources 

  1. datagouv - https://www.data.gouv.fr/ 
  2. France compétences : enregistrement de certifications professionnelles aux répertoires nationaux https://www.francecompetences.fr/app/uploads/2025/07/Decisions-denregistrement-aux-repertoire-aux-nationaux-du-17-juillet-2025.pdf 
  3. Rapport d'activité 2024 financer réguler améliorer - France https://www.francecompetences.fr/app/uploads/2025/06/Rapport-dactivite_2024_digital.pdf
  4. CPF, apprentissage, transitions : le bilan 2024 de France compétences en chiffres https://cpformation.com/france-competences-2024-une-annee-de-regulation-renforcee-et-dadaptation-strategique/
  5. Decoding France Compétences: Understanding RNCP and RS Certifications https://natalieberkman.mla.hcommons.org/decoding-france-competences-understanding-rncp-and-rs-certifications/
  6. Rapport d'activité de la DGEFP 2024 : promouvoir l'emploi et la formation en France https://travail-emploi.gouv.fr/rapport-dactivite-de-la-dgefp-2024-promouvoir-lemploi-et-la-formation-en-france
  7. NOTICE EXPLICATIVE BILAN PEDAGOGIQUE ET FINANCIER (BPF) - DEETS Martiniquehttps://martinique.deets.gouv.fr/sites/martinique.deets.gouv.fr/IMG/pdf/noticebpf-3.pdf
  8. LES NIVEAUX DE LA NOMENCLATURE DES FORMATIONS ET LEUR ARTICULATION (CNIS) https://www.insee.fr/fr/statistiques/fichier/2569957/fqp03_nsf-1.pdf
  9. Liste des codes nomenclature de spécialité de formation (NSF) en santé et sécurité au travail https://www.data.gouv.fr/datasets/68954ff99b508a29bd32063c/?resource_id=404c0366-e87b-4886-a41a-d28779c1e266